Quelques brêves

C’est vous qui le dites…

« Mon coup de gueule, c’est surtout en tant que cycliste. On parle des déplacements doux mais franchement, c’est violent de rouler à vélo à Besançon. On n’est jamais respecté nulle part, et on se fait engueuler partout. Pourquoi les bagnoles qui stationnent sur les rares voies cyclables sont pas réprimandées ? C’est pas incitatif, je connais plein de gens qui n’osent pas prendre un vélo, parce que c’est dangereux.« 

Matthieu, 25 ans. Lu dans Paroles de jeunes, un recueil réalisé par Juliette Touyard pour la Ligue de l’Enseignement.Travaux place Payot : et la piste cyclable ?

On pouvait tout à fait comprendre que les bandes cyclables de la place Payot soient quelque peu malmenées par les chantiers en cours. En revanche, ce qu’on admet moins, c’est que les travaux aient supprimé la possibilité de passer de la rue de la Mouillère à la gare du même nom, itinéraire pourtant indispensable pour les cyclistes. En effet, la piste cyclable sert actuellement à stocker du matériel et des engins de chantiers (une pelleteuse y a tranquillement passé le week-end !), et de toute façon elle n’est plus accessible depuis la rue de la Mouillère. Les cyclistes ont donc le choix entre circuler sur le trottoir comme avant, ou faire preuve d’un certain culot en s’engageant à contresens sur la chaussée !

C’est vous qui le dites (bis).

« Depuis novembre, je ne prend plus la piste cyclable qui va des 408 à la malcombe (sens centre ville – Planoise). Je reste sur la route car on trouve sur la piste cyclable des branches, des cailloux, graviers, tesson de bouteilles et panneaux de signalisation…

Je prends aussi le boulvard allendé à Planoise qui vient d’être refait près d’intermarché avec un tunnel pour les voitures et une route de chaque côté pour les bus. Aucune indication pour les cyclistes, ni pour les voitures d’ailleurs. Dommage qu’on ait pas prévu une piste cyclable, comme il est aussi dommage de ne voir aucune piste cyclable sur Planoise. »

Message reçu d’un de nos adhérents.

Le vélo, c’est chic (bis).

C’est ce que doivent se dire les clients des Barbiers de Saint-Amour puisque ces derniers vont dorénavant au travail à vélo, sur des vélos fournis par leur patron. Une initiative intéressante et dans l’air du temps. Bon, les gilets jaunes de jour en agglomération, c’est facultatif. Faut pas confondre chic et Lagerfeld.

Source de la photo : Macommune.info.

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