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Mon quotidien à vélo…
L’article que nous publions ici est un témoignage reçu sur notre adresse e-mail de la part d’une cycliste bisontine. Nous publions assez rarement ce genre de témoignage mais celui-ci en dit long sur la façon dont les cyclistes sont respectés à Besançon. Le vélo est pour moi et ma fille notre moyen de locomotion pluri-quotidien et principal, et ce par tous les temps puisque ni voiture ni permis par choix de vie.J’habite le boulevard Diderot et je me faisais une joie de l’arrivée des pistes cyclables, mais depuis des mois tous les matins au niveau de la piste de la…
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Un raccourci pour piétons et cyclistes… à améliorer
Pour aller à pied ou à vélo de la Malcombe ou du quartier Rosemont à la rue de Velotte et au chemin de la Vosselle (haut de la rue de la Grette), la première option consiste à suivre les rues : François Mitterrand ou Docteur Girardot, puis Général Brulard et enfin rue de la Grette. Pas très agréable, beaucoup de circulation, et pour finir la montée de la rue de la Grette particulièrement pénible : à pied, les trottoirs sont très étroits et en dévers, et à vélo ça grimpe bien (11 %) et les voitures et bus doublent les…
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Interview : j’ai repris le vélo à Besançon après 15 ans sans en faire.
Nous avons rencontré Thierry, un bisontin récemment converti au vélo urbain après 15 ans sans être monté sur un deux-roues, et cela nous a donné l’envie de faire une petite interview. Pourquoi ? Pour récolter les impressions de quelqu’un qui n’a rien d’un cycliste militant acharné, mais qui veut juste faire le choix de se déplacer autrement qu’en voiture. L’occasion d’avoir un regard extérieur sur la circulation à vélo dans Besançon, la politique cyclable de notre ville, et même sur notre propre action et nos demandes.
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Deux ans d’étude pour finir sur le trottoir !
En totale contradiction avec leurs discours sur le Grenelle de l’Environnement et autres Agenda 21, l’État et les Collectivités locales viennent d’enterrer une solution de déplacement en « mode doux » (vélos, piétons) sur un axe de transport majeur du Grand Besançon. Cette décision a été prise malgré les conclusions prometteuses d’une étude menée à grand frais par les services de la DREAL (Direction Régionale de Environnement, de l’Aménagement et du Logement) sur un aménagement cyclable permettant la traversée du Doubs par le pont de Beure.
