Arménie et république du Haut-Karabagh

Faire le tour de l’utilisation du vélo à EREVAN, capitale de l’Arménie et métropole de plus d’1.2 millions d’habitants, va être très simple : il n’y a pas un seul vélo, ni autre deux roues, d’ailleurs, dans les larges avenues, style soviétique, de la ville.La raison principale : le statut social ! Les habitants se déplacent donc dans des vieux bus au gaz, tous essoufflés, en minibus et à pied. Même le métro, pour des raisons culturelles (on ne s’enferme pas sous terre), est boudé. En 6 jours en ville, j’ai pu voir un (1) scooter, sans casque, et une (1) vieille moto monocylindre qui circulaient.
A la campagne, on peut voir quelques vieux vélos. J’en ai même aperçu un sur lequel le guidon avait été remplacé…par un volant.

Photo

A Stepanakert,
petite capitale de la République montagneuse du Haut Karabagh, la situation cycliste est encore pire. Il est vrai que la ville est loin d’être plate. Mais de grandes avenues neuves parsemées d’une faible circulation de véhicules à 99% russes, aurait pu constituer un endroit idéal et calme pour la pratique du cyclisme, la ville ayant été entièrement reconstruite après le conflit qui avait opposé, il y a 10 ans, l’Arménie et l’Azebaïdjan.

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